Votre Art à ma façon
La démarche de conception de robes arty et uniques by JUSTE UNE IMPRESSION
étant fondamentalement une démarche artistique, il me semblait évident que celle-ci
pouvait s'appliquer à d'autres oeuvres contemporaines, bien évidemment
avec accord de leurs auteurs.
L'idée étant
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de transposer de l'art là où on ne l'attend pas forcément (Pop Art, non ?),
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de faire de façon différente un focus sur ces artistes pour leur donner de la visibilité,
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mais aussi et surtout de donner une autre perspective à l'oeuvre originale.
Les photographies des oeuvres sont retravaillées (notamment en densité de couleurs, tailles) avant d'être imprimées et encrées dans la fibre textile de façon permanente et indélébile (aucune altération quel que soit le nombre de lavages en machine à 30°). Le patronage se fait manuellement par la créatrice de façon subjective pour donner une nouvelle perspective à l'oeuvre initiale forcément tronquée par la découpe trapèze de la robe.
ma DEMARCHE
Même si cet exercice de mise en relief d'oeuvres artistiques à travers ma démarche de design textile est a priori transposable à un certain nombre d'oeuvres, j'ai pour postulat de choisir tant les oeuvres que les artistes eux-mêmes, l'humain m'important autant que l'oeuvre elle-même.
En tant que graphiste, designer et créatrice, j'ai une ligne graphique & esthétique... comme une ligne de conduite artistique, une ligne éditoriale pour une cohérence d'ensemble esthétique & graphique.
Ces collaborations artistiques se sont imposées comme des évidences esthétiques et humaines, puisant dans leurs univers respectifs d'autres déclinaisons possibles de mes robes emblématiques de marque.
LES ROBES arty
LES Artistes
Gilles OUAKI
Le photographe français Gilles Ouaki débute sa carrière à travers le photojournalisme, une véritable planche de salut pour cet enfant de banlieue qui aurait pu tourner à l'envers.
Il trouve sa voie, en devenant les yeux des autres. Pendant vingt ans, Gilles Ouaki, tour à tour grand reporter au Parisien puis à Paris-Match suit l'actualité du faits divers au glamour des stars. Mesrine, Action Directe, Carlos, l'objectif de Ouaki sublime la mort d'un gangster ou le sourire des people. Entre une évocation de la “chaise électrique” de Warhol ou des “meurtres” de Monory, ses clichés offrent un rapport direct avec le réalisme. Ouaki obtient, en 1982, le Grand Prix de la Ville de Paris et le Grand Prix Paris Match pour son travail.
Parallèlement, l'artiste photographe développe une passion pour l'art contemporain : « Les artistes sont des phares qui éclairent le monde et notre monde en a bien besoin » ! En 1998, Ouaki franchit le pas et devient performer en exposant à la FIAC le patron de la Figuration Libre, Robert Combas pour “Le Mur”, hallucination contrôlée de graffitis pailletés et de photos dénonçant l'homme moderne emmuré dans “la prison-société”.
Gilles Ouaki est un artiste de son temps qui provoque des rencontres improbables. Chasseur d'émotions, créateur de dialogues, il ne s'interdit rien. Dans le Val d'Oise, il instaure en 2009 une nouvelle biennale artistique, “le Grand Pari[s] de l'Art Contemporain”. Les plus grands artistes ont répondu présents : Wiliam Klein, ORLAN, Gérard Fromanger...
En 2010, Gilles Ouaki intègre la famille des designers et présente sa dernière création, Cheese lors de la dixième édition du Designer's Day. Il propose un appareil photo géant Brownie en guise de canapé, bibliothèque, écran plasma, lampe… un travail qui lui vaudra d'être qualifié “d'un des artistes contemporains les plus incontournables de sa génération” (Art Actuel).
Son talent est reconnu par des acteurs publics ou privés de la scène artistique : du Designer's Day, Gilles Ouaki se retrouve propulsé au Grand Palais pour exposer en solo-show. Il est présenté comme l'un des 10 grands photographes mondiaux au salon “Paris Photo” 2010 par Leica au côté de Jane Evelyn Atwood ou Stanley Green. La même année, pour les 30 ans du conceptstore L'Eclaireur, Armand Hadida confie à Gilles Ouaki, l'organisation d'une performance pour cet anniversaire.
Mais Gilles Ouaki apprécie surtout l'expérience de la percolation et de l'hybridation : avec Bye-Bye Polaroïd en 2009, il célèbre la fin du Polaroïd en élaborant une oeuvre de “partage” avec ses amis artistes. Objectif : produire des clichés qui deviennent le support d'une nouvelle oeuvre. Arman, Ben, Robert Combas, Bernard Venet, Nathalie Elemento, Fabrice Hyber, Joël Hubaut, Jean-Paul Goude, Erro, Monory, Orlan,Rancillac, Pierre Soulages, Jacques Villeglé, Yann Queffélec ont tous répondu présents !
En 2012, il récidive ; cette fois, le travail d'alchimie fonctionne avec les grands du Street Art, invités à intervenir sur des clichés vintage de l'artiste Ouaki. Ces images de gangsters et de rue en noir et blanc sont revisitées par les streetarters. Résultat : Cope2, Faucheur, Monsieur Chat, Speedy Graphito, Konny, ThomThom, Paella... 43 artistes du street art participent à NB & Coulour. Mais l'artiste n'oublie pas son travail de Performer, sur le Pont des Arts avec l'opération I Lock You, Gilles Ouaki libère et brise les cadenas du mythique Pont Parisien pour les immortaliser en grand format au Carrousel du Louvre lors du Tranoï 2012.
Jean-Michel GNIDZAZ
Après une décennie de réflexion consacrée aux compositions géométriques, Jean-Michel Gnidzaz rompt aujourd’hui avec la pure abstraction, et donne une nouvelle orientation à son travail. Depuis 2003, il initie une nouvelle série de portraits consacrées aux icônes culturelles du XXème siècle. Frappé par la persistance dans l’inconscient collectif de certaines images ou photographies de personnalités culturelles majeures du XXème siècle, en particulier de celles qui sont synonymes d’une rébellion face à l’ordre établi, Jean-Michel Gnidzaz questionne ici leur statut iconique. En neutralisant le background de la photographie originelle, en recomposant le portrait à partir de jeux de bi et de trichromies, d’aplats et de bandes colorées alternées qui réintroduisent un certain cinétisme, il prive ces incunables de l’histoire contemporaine d’une identification trop immédiate. Ainsi écartées pour un instant du consensus, du respect convenus qu’on leur réserve habituellement, ces idoles populaires retrouvent une certaine capacité à invectiver le spectateur. Le processus pousse à prendre un recul historique prompt à faire évoluer nos questionnements : que signifieraient aujourd’hui les Beatles, James Dean, ou même Coluche dans notre société ; quelle place occuperont-ils dans les esprits des générations futures ; échapperont-ils au statut décoratif auquel l’exploitation mercantile de leur image les a relégués ? Nul, n’en a encore la réponse, mais le travail de Jean-Michel Gnidzaz interroge à bon escient. Cette nouvelle série de portraits, et le flot de questions qu’elle soulève se posent à coup sûr comme un nouveau jalon essentiel dans son parcours artistique et nous rend curieux de ses développements futurs.
Amiel Grumberg
Anne MONDY
Née en 1972, Anne Mondy est une créatrice qui réalise des collages
et des assemblages depuis son plus jeune âge.
Fille de l’acteur et metteur en scène Pierre Mondy, elle baigne depuis
toujours dans un environnement où la liberté de création, l’originalité et
l’expression artistique ont une place prépondérante.
Anne développe un imaginaire bien à elle. Elle aime les couleurs,
l’iconographie et la culture pop, le street art, les vieilles comédies
musicales de la MGM, les années 80, la Soul music et séries
américaines... Sa passion pour les arts plastiques s’oriente rapidement
vers les collages grâce auxquels elle trouve des possibilités infinies
d’expression.
Pendant 23 ans, elle travaille comme attachée de presse et directrice
artistique dans les milieux du spectacle, tout en poursuivant la pratique
des arts plastiques de manière confidentielle.
Forte et enrichie de cette carrière, Anne décide, il y a 3 ans, de se lancer
dans un nouveau challenge, un nouveau chapitre et d’élargir ses horizons
professionnels. Elle fait le choix de faire passer au premier plan son
activité artistique et de ne se consacrer qu’à celle-ci.
Et pourquoi pas… ?!
POO
KKY
Qualifié et inséré dans la case des « STREET ARTIST » cet électron libre autodidacte ultrasensible se qualifie lui-même de « LOUNGE ARTIST », car il travaille exclusivement dans son salon ou sa cuisine.
Après avoir exercé plus de 10 ans en tant que paysagiste, il change radicalement de direction suite à un petit accident de la vie et se plonge dans la création artistique par thérapie.
il expérimente différentes techniques diverses et variées pour atteindre ce résultat intégrant le collage d’affiches récupérées dans les rues, la peinture, la retouche numérique, le pochoir, etc etc
Très influencé par le Pop Art , il décline les icones des années 60 à nos jours en fonction de ses envies et de l’actualité tout en y intégrant une petite note d’humour ou une revendication qui le préoccupe.
POOKKY, c’est son nom, a pris le parti de signer ses œuvres sous différents pseudos «loufoques » afin d’amener le spectateur dans son univers légèrement déjanté et décalé tout en y incluant une part de mystère.
Philippe WATTEZ
Philippe Wattez, allias Lipphi est un artiste peintre qui s'est illustré dans des domaines picturaux des plus variés : le trompe l’œil, la restauration d'œuvres d'art, le décor de théâtre, la scénographie de parcs d'attractions (en France, Italie, Espagne, Dubaï, Quebec,...). A partir 2010 il développe un projet personnel, une exposition itinérante, ludique, pédagogique, tout public, intitulée : “Les Muses des Peintres”. Le projet est constitué de 20 toiles pastiches (100 x 80 cm) des grands maîtres de l'art moderne (Matisse,Picasso, Dali,...). Pour illustrer le propos l'exposition est accompagnée d'un essai de vulgarisation : « Un regard léger sur l'art Moderne » dans lequel les peintres sont présentés avec une touche d'humour mais aussi d’érudition. Depuis 2015, l'exposition a été à l'affiche dans plusieurs villes d'Italie dont Pordenone et Venise ainsi qu'en France à Plougonvelin, Solliés-Ville, Libourne et Lille. En 2020 l'exposition sera enrichie par dix nouvelles pièces parodiant cette fois les sculpteurs, (Brancusi, Moore, César,... ). L'ensemble désormais constitué de trente pièces sera présenté sous le nom de : “L'Atelier des Modernes” Dans l'esprit d'un musée imaginaire, « L'Atelier des Modernes », vous offre à travers une sélection forcement quelque peu restrictive, un tour d’horizon représentatif de l’histoire de l'art moderne. Les grands maîtres sont bien trop souvent présentés avec snobisme. L'auteur de ce projet revendique son aspect décalé et accès sur l’anecdotique pour que celui-ci soit à la portée du plus grand nombre.
Philippe PASQUA
Né à Grasse en 1965, Philippe Pasqua est un artiste-peintre autodidacte qui échappe aux institutions et aux circuits classiques. Il s’est inspiré de Francis Bacon et Lucian Freud et s’est imposé progressivement comme l’un des artistes majeurs de sa génération. Son art impressionne, bouscule et fascine.
Philippe Pasqua marque une étape dans son travail puisqu’il présente pour la première fois des autoportraits réalisés pendant le confinement, et célèbre un retour de la peinture dans une exposition "Monomaniaque". Il fait une démonstration magistrale de son obsession de toujours : l’art du portrait.
Dans cette série inédite, Philippe Pasqua s’est essayé à l’autoportrait, traité de la même façon que les autres sujets. Il se glisse dans l’ensemble discrètement et qui ne connait pas son visage pourrait passer à côté. Michel Lejeune aurait pu écrire ces mots pour ces œuvres : “… comment se fait-il qu’il n’y ait pas de signe interne qui permette de distinguer un autoportrait d’un portrait ?” Pasqua ne cherche en effet pas à se mettre en scène d’une façon ou d’une autre. Il ne fixe pas le spectateur à la manière de Dürer, ne rit pas comme Rembrandt, n’est pas en délire façon Courbet, en détresse tel Van Gogh, hautain à la Picasso ou à la Warhol. Lui est serein, apaisé et, comme beaucoup des sujets de l’exposition, les yeux fermés. Déstabilisant, puisque l’exercice du portrait nous habitue à un face à face où l’interaction passe par le regard. Troublant, car on ne peut s’empêcher de faire le rapprochement avec les masques mortuaires en cire du XIXe siècle. Mais ces yeux clos nous amènent malgré nous à souffler et à porter, à notre tour, un regard vers l’intérieur, à être à l’écoute de nos sensations, de l’invisible.
Très fière de sa confiance et de cette rencontre aussi
improbable qu'incroyable,
Philippe PASQUA m'a proposé pour l'exercice plusieurs
de ses portraits.
J'ai opté pour cet autoportrait
pour le (re)présenter. .. comme vous ne l'avez jamais vu.
à travers son dessin à la mine de plomb encré dans une robe unique,
une robe iconique dédiée cette fois à l'homme, l'artiste.
Jérôme
JASINSKI
THE 3D GEOMETRICAL ART OF
JÉRÔME JASINSKI
The playful pop art of the photographer, cabinet maker and sculptor Jérôme Jasinski creates the surprising impression of an unexpected form of 30 art. One inevîtably thinks of the work of Vasarely, with its imaginative geometrical forms. But beyond that, there are also the astonishingly complex perspectives created by his shimme
ring palette of bright yellows and oranges, as well as the vibrant reds, that were so characteristic of the spirit of the Seventies and of his childhood in a family of artists.
His first contact with WOOd as a medium was also a major revelation. From that point on, he chose to focus on cabinet-making which he studied for four years. When he became a professional designer and creator of furniture and other objects. he spent his weekends creating original pieces for fun. and gave them to friends. His family encouraged him to share his work on Facebook and in a few days he was signing his first contract for an exhibition at the Galerie Sandrine Heerebout
Word of mouth did the rest and the response was enthusiastic. His work was noticed in a gallery in the Rue Blaes in Brussels by Michel Launoit. designer and director of the MIMA. who took him under his wing and organised one exhibition after another Orders for his pieces took off and soon he had become a full-time artist His first solo show at the B19 was soon followed by shows at The Belgian Gallery and the Salon Eurantica. at the Art Unity Gallery in Knokke from March 5-13 and at the Hamton Art Gallery 1n New York. ln just four short years. this previously unknown artist had sold over 200 unique works to art collectors.
What is the "Jasinski touch"? Spontaneous and persona! pieces of work which emerge from an instinctive process combined with the aesthetic pleasure of a clean, architectural finish. His ability to "see in 30" and his sense of the right finishing touch allow him it to create powerful kinetic and optical objects. The precision of his lines results from meticulous preparation with drawings and the study of proportions in 30, and a constant concern for consistency and pace.
The orchestration of one of his creations. which can sometimes consist of several hundred pieces. is in itself a performance. Like a magician, he uses optical tricks to play with the visible and the invisible and his visual effects change our perception of the volumes.
Finally, the spirit that characterises his worl< is without a doubt that of joy. Joy expressed both through his choice of colours - when he's net playing with black and white - and the titles of his creations, word plays in French such as "Pacômes Leszautres", "Sam Chatouille", "Alex Tazie", "Oino Zore" and so on.
This remarkable - and much noticed - work also succeeds in not taking itself too seriously. lt is fun to look at white also inspirlng serenity.
Fabrice
AINAUT
Grâce à des volumes complexes où la droite et le plan ont une fonction essentielle, Fabrice Ainaut parvient à trouver des voies nouvelles qui donnent à l’ombre et à la lumière l’espace nécessaire pour qu’elles puissent se livrer à leurs affrontements dans une dialectique toujours imprévisible.
Amoureux du noir et du blanc, pour ce qui concerne les couleurs, l’artiste porte une extrême attention à l’invention de contrastes qu’il cherche à rendre toujours plus différents, plus instables et fugitifs.
L’idée maîtresse que poursuit Fabrice Ainaut, idée presque utopique, mais à laquelle il a raison de tenir, car l’avenir est ouvert, est d’arriver à insuffler la vie à ses œuvres. Aussi s’oriente-t-il vers une robotique particulière qui le conduit à développer une autonomie de l’interaction entre les mouvements de l’œuvre et la simple présence devant celle-ci de son spectateur, l’artiste restant ici celui qui contrôle les modalités de cette autonomie.
De là viennent les recherches de l’artiste pour rendre plus performant l’usage fréquent qu’il fait de l’ordinateur et des microcontrôleurs, afin de mieux programmer les montages complexes de mouvements qu’il inscrit dans les différentes pièces qui composent ses œuvres.
Fabrice Ainaut a un idéal, et cet idéal est de parvenir à construire des œuvres qui auraient en elles une véritable intelligence, cette intelligence qui leurs donnerait le moyen de s’auto-transformer.
Fernand.H.Fournier
Paris, Janvier 2016
nouveau challenge artistique à travers cette collaboration artistique : faire d’une de ses sculptures lumineuses une robe tableau vivant pour faire rayonner son art hors les murs.
Livraison in situ de la robe tableau sous l’œil du maître à la Galerie Wagner qui le représente.
Vous êtes témoins de ce moment fort de rapport de l’artiste à son œuvre réinterprétée. / à noter la lecture est ici verticale alors qu’elle est horizontale dans l’œuvre originale.
Validation en direct de l’idée qui l’a séduit alors qu’il ne portera jamais sa robe tableau convaincu que c’est une façon inédite de donner vie à son œuvre, idée qui lui est chère.
Aude
MILESI
"Je me définis comme une « coloriste des mots. » Je sensibilise mes interlocuteurs à l’importance du choix des mots, je peins et j’écris sur les mots positifs afin de leur redonner du sens et faire émerger leur vibration. La citation de Confucius « Une image vaut mille mots » prend alors tout son sens, lorsque j’expose mes peintures pour faire émerger, entre autres, des prises de conscience quant aux messages des mots."
C’est dans mon cabinet de consulting que j’ai installé mon atelier. Totalement autodidacte, en tant qu’artiste-peintre, j’ai découvert mon talent pour la peinture tardivement.
C’est en novembre 2020 que je débute avec la création de l’Oracle des Énergies Positives, que je crée sans imaginer créer de l’Art. Rapidement, je prends conscience que je peint par canalisation et que c’est mon âme qui œuvre, d’où le pseudo d’artiste que j’ai choisi : Â.M.
Ma rencontre avec Aude MILESI fut comme une évidence. Convaincue qu'en tant qu'artiste, femme qui plus est, il était pour elle important d'imaginer porter son Art et le revendiquer pour être identifiée comme l'auteure des tableaux desquels ont été éditées les robes uniques conçues en collaboration artistique.
Les robes co-éditées sont autant de support de communication dans une démarche de personal branding à l'instar de la la mienne puisque j'incarne et porte mes créations propres.
Ode
BERTRAND
« Amener le chaos dans l’ordre » : tel est le pari poursuivi par Ode Bertrand à travers sa création.
Élève, assistante et confidente de la grande Aurelie Nemours pendant 35 ans, son œuvre de peintre relève également de l’art concret, mais sur des prémices différentes : là où Aurelie Nemours explorait le plan et la couleur, Ode Bertrand s’attache au trait, qu’elle utilise à la fois comme signe et structure pour subvertir des figures géométriques définies autour du nombre d’or, grille, labyrinthe, triangle… Ses oeuvres, qui au premier regard semblent épurées et ordonnées, révèlent à l’observateur attentif un foisonnement insoupçonné, et paraissent vibrer d’une vie intrinsèque.
Extrait de “Ode Bertrand – Trait et lumière”, monographie de Serge Lemoine (mars 2008)
Ma rencontre avec Ode BERTRAND fut initiée par la galerie Florence WAGNER (Paris). Maîtresse dans son Art, la maîtrise des lignes, des traits pour en faire des figures géométriques abstraites avec un travail particulier sur l'articulation du noir et du blanc, une rencontre humaine avant tout pleine d'admiration pour ma part. Elle s'est prêtée à la rencontre artistique au point d'arborer fièrement un de mes masques design, surprise et admirative de ma démarche de transposition sur du textile d'oeuvres majeures, dont la sienne pour faire de son tableau "sur la pointe" une robe unique.
Mathias KRISSMER
"L'objectif de mon travail est d'animer des formes et des motifs géométriques de base simples dans des animations vidéo animées. Pour ce faire, je recherche les aspects du temps, de la couleur, de la forme et de la lumière ainsi que leur perception. L'agencement additif crée de grandes formes strictement géométriques, dont les arrangements et les mouvements apparaissent parfois de manière aléatoire. Mes formes de base sont des carrés, des cercles, des triangles, des lignes, des croix et parfois des courbes. Grâce à une manipulation ciblée du temps, par ex. B. grâce à un décalage temporel, je développe diverses structures et schémas de mouvement. D’une part, ceux-ci se caractérisent par leur dynamique et leur variabilité, mais d’autre part, ils présentent une rigueur conceptuelle prononcée. Les mouvements de base des formes tels que la rotation, la mise à l'échelle, le positionnement ainsi que les changements de couleur et de forme servent d'éléments de base pour de nouvelles compositions.
Ceux-ci sont soumis à un processus d’évolution constant, qui conduit à la création continue de nouvelles variations sur un thème. Le mouvement des formes de base crée également des espaces en constante évolution entre les formes. Le temps est rendu visible à travers le mouvement des formes. Les œuvres n'ont ni début ni fin et peuvent donc être jouées indéfiniment. La vitesse joue un rôle crucial dans la perception des effets optiques et constitue une part importante des compositions. L'accent mis sur le mouvement est soutenu par l'utilisation des non-couleurs noir et blanc, parfois complétées par l'une des couleurs primaires. Cela crée de forts contrastes qui distinguent clairement les formes les unes des autres et de l'arrière-plan. La lumière blanche émerge du support et éclaire également les alentours de la pièce. La lumière fait ressortir les formes et les structures du noir invisible. Les œuvres ne sont pas liées à des supports physiques ou au cadre technique d'un support de reproduction ou d'une surface de projection. Les œuvres d’art peuvent être diffusées depuis des téléphones portables jusqu’à de grands écrans vidéo ou des murs LED.
III00000I0III000I0 - oeuvre animée native de Mathias KRISSMER
Ma rencontre avec Mathias KRISSMER s'est faite via les réseaux sociaux autour d'une passion commune pour l'Art Optique/cinétique. Il m'a spontanément proposé de réinterpréter une de ses oeuvres animées pour l'imaginer en robe Art prêt à porter. Le challenge consistant ici à re designer une de ses animations pour la figer le temps d'une impression, le mouvement cher à cet artiste serait ainsi donné par le mouvement du modèle porté.
Il arbore ci-contre un masque unique designé pour signer cette collaboration artistique et lui permettre de porter son Art.